Hébron, Connecticut, États-Unis

1941

Choftim (שופטים – juges) Deutéronome 16:18 – 21:9. et Isaïe 51:12 – 52:12.

La Torah aborde l’établissement d’un système judiciaire équitable, interdit l’idolâtrie et énonce les lois de la guerre. Elle met également en avant les conditions de la créations des villes de refuge (19:1-13) pour protéger les meurtriers involontaires.

Deutéronome 19:2
שָׁלוֹשׁ עָרִים, תַּבְדִּיל לָךְ:  בְּתוֹךְ אַרְצְךָ–אֲשֶׁר יְהוָה אֱלֹהֶיךָ, נֹתֵן לְךָ לְרִשְׁתָּהּ. 
tu te réserveras trois villes dans ce pays dont l’Éternel, ton Dieu, t’accorde la possession.

La synagogue United Brethren de Hébron1
Vers 1880, pour échapper aux persécutions et à la pauvreté qu’ils subissent en Europe de l’Est, une dizaine de familles juives ashkénazes constituent une petite communauté à Hébron, dans le Connecticut. En 1940, Izzy Turshen2 conçoit un bâtiment sur un terrain donné par Benjamin Kassman. La synagogue3, achevée en septembre 1941, de style néo-géorgien, intègre des éléments Art Déco tout en restant un exemple d’architecture rurale. Des fresques de scènes d’Israël sont peintes sur les murs.


1 Dans Josué 20:7, la ville de Hébron est nommément désignée comme l’une des villes de refuge.
2 Alias Ira Turshen, artiste juif américain, né en Russie.
3 Visite de la synagogue United Brethren sur le site : Synagogues 360

Colel ‘Habad, Israël

Colel ‘Habad de Sfat

Réhé (ראה – vois), Deutéronome 11:26 à 16:17 et Isaïe 54:11-55:5

Moché place devant les Beni-Israël la bénédiction ou la malédiction, selon leur obéissance aux lois divines. Il précise que le peuple juif doit se distinguer des peuples idolâtres. Il insiste également sur l’importance de prélever la dîme, d’être généreux envers les indigents, les orphelins et les veuves, de libérer les esclaves, et de célébrer les fêtes de pèlerinage.

Deutéronome 15:11
כִּי לֹא-יֶחְדַּל אֶבְיוֹן, מִקֶּרֶב הָאָרֶץ;
עַל-כֵּן אָנֹכִי מְצַוְּךָ,
לֵאמֹר, פָּתֹחַ תִּפְתַּח אֶת-יָדְךָ לְאָחִיךָ לַעֲנִיֶּךָ וּלְאֶבְיֹנְךָ, בְּאַרְצֶךָ.
Or, il y aura toujours des pauvres dans le pays ;
c’est pourquoi, je te fais cette recommandation :
ouvre largement ta main à ton frère, à ton pauvre et à ton nécessiteux dans ton pays.

Fondée en 1788 en Biélorussie par le rabbin Schneur Zalman1 de Liadi, Colel ‘Habad est la plus ancienne organisation caritative juive encore en activité. Dès ses débuts, des centres d’aide ont été établis à Jérusalem et à Sfat pour soutenir matériellement les Juifs les plus pauvres vivant en Terre Sainte, alors sous domination ottomane. Depuis sa création, Colel ‘Habad a considérablement élargi ses activités. Aujourd’hui, l’organisation gère un vaste réseau comprenant des cuisines communautaires, des banques alimentaires, des cliniques, des centres de jour pour enfants ainsi que des programmes d’aide pour les veuves et les orphelins. Elle est particulièrement active en Israël et a également un impact mondial.

1 Schneur Zalman de Liadi (Biélorussie, 1745-1812), connu sous le nom d’Alter Rebbe, est le fondateur du mouvement ‘Habad-Loubavitch. Il est également connu pour son œuvre majeure le Tanya (de l’araméen « enseignement »). qui intègre mysticisme et principes éthiques.




Biriya, Haute-Gallilée, Israël

Eqev, Deutéronome 7:12 à 11:25 et Isaïe 49:14-51:3

Moché souligne la bienveillance divine et exhorte les Bnei-Israël à respecter les mitsvot afin qu’ils prospèrent en Terre Promise (Deut. 11:13-15), pays “ruisselant de lait et de miel”. Dans la Haftarah, Dieu assure les Bnei-Israël de son amour et promet le rassemblement des exilés lors de la venue de Machia’h.

Deutéronome 8:7
ה’ אֱלֹריךָ, מְבִיאֲךָ אֶל-אֶרֶץ טוֹבָה: אֶרֶץ, נַחֲלֵי מָיִם–עֲיָנֹת וּתְהֹמֹת, יֹצְאִים בַּבִּקְעָה וּבָהָר.
Car l’Éternel, ton Dieu, te conduit dans un pays fortuné, un pays plein de cours d’eau, de sources et de torrents, qui s’épandent dans la vallée ou sur la montagne.

En Haute-Gallilée, la forêt du mont Biriya, principalement composée de pins de Jérusalem, abrite la synagogue de Naburiya, datant de la fin du Ier siècle, ainsi que la source Ein Naburiya, autrefois utilisée pour abreuver le bétail. Le KKL a aménagé des terrasses et planté des arbres fruitiers autour de cette source. Construite par le Palma’h1 en 1946 sur les pentes du mont, la forteresse de Biriya servait de base pour la défense de Sfat et de point de passage pour les immigrants juifs. Aujourd’hui, la forteresse est devenu un musée.

1. Créé en mai 1941, le Palma’h (פלמ”ח – פלוגות מחץ – unités de choc) est une unité d’élite de la Haganah (ההגנה – la défense), principale organisation paramilitaire sionistes de 1920 à 1948. Après la création de l’État d’Israël, elle est devenue le noyau de Tsahal (צה”ל – צבא ההגנה לישראל – Armée de défense d’Israël).



Grande Synagogue, Plzeň, Tchèquie

1893

Chabbat Vaet’hanan (ואתחנן – et je suppliai),
Paracha Deutéronome 3:23–7:11 et Haftara Yeshayahou (Isaïe) 40:1-26

Yochouha (Josué) est désigné par D-ieu pour conquérir Israël. Moché rappelle aux Bnei Israël les Dix Commandements (Paroles) et témoigne1 de l’unicité de Dieu en s’adressant au peuple d’Israel. Dans la haftarah, Yeshayahou (Isaïe) réconforte le peuple, annonce la fin de l’exil et proclame la grandeur et la puissance de D-ieu.

Isaïe 40:26
 שְׂאוּ-מָרוֹם עֵינֵיכֶם וּרְאוּ מִי-בָרָא אֵלֶּה, הַמּוֹצִיא בְמִסְפָּר צְבָאָם:
Levez les yeux en haut et voyez : Qui a créé ces choses ?

Ce verset invite à reconnaître la grandeur de D-ieu. Pour l’appréhender, les hommes construisent des monuments remarquables tels que la Grande Synagogue de Plzeň. Deux tours jumelles, de 45 mètres de haut, encadrent la façade en granit rose surmontée des Tables de la Loi. Achevée en 1893, elle a été construite par Rudolf Štech2, dans un mélange de styles gothique, baroque, romantique, néo-renaissance et et orientaliste. Puis entre 1995 et 1998. Elle est restaurée avec soin3 . Malgré la petite taille de la communauté juive actuelle, la synagogue continue de jouer un rôle vital en tant que centre spirituel et culturel. Elle accueille régulièrement des événements culturels de l’héritage juif (concerts, expositions).


1 Le Chéma : Le premier et le dernier mot du verset Deutéronome 6:4 se terminent par les lettres ע et ד, écrites dans une taille plus grande. Ces deux lettres, assemblées, forment le mot עֵד (’Èd – témoin). Ainsi, Israël témoigne de l’unicité de Dieu.
2 Initialement conçue par Max Fleischer, architecte autrichien juif, les plans sont modifiés par Emmanuel Klotz  puis par Rudolf Štech (1858–1908), un architecte tchèque  qui a étudié à Prague et Vienne et a conçu de nombreux monuments pour la ville de Plzeň.
3 Pendant l’occupation nazie, elle sert de dépôt de munitions. Après la guerre la communauté juive en reprend possession

Grotte d’Élie, Haïfa, Israël

Paracha Pin’has (Nombres 25:10 à 30:1) et la Haftarah associée (Rois I 18:46 à 19:21).

Dieu Se manifeste à Pin’has et à Élie et les récompense pour leur ferveur et leur zèle à Son égrad.

Rois I 19:12
וְאַחַר הָרַעַשׁ אֵשׁ, לֹא בָאֵשׁ יי ; וְאַחַר הָאֵשׁ, קוֹל דְּמָמָה דַקָּה.
Après le tremblement de terre, un feu ; l’Éternel n’était pas dans le feu.
Puis, après le feu, un murmure doux et léger.

La Bataille de Megiddo de 1918 est décisive. Le général Edmund Allenby, à la tête des forces britanniques, défait l’armée ottomane entraînant son effondrement et la libération de toute la région.

La Grotte d’Élie est située sur le Mont Carmel qui est réputé pour sa beauté naturelle et sa végétation luxuriante. Le murmure doux et léger du vent dans les arbres ajoute à l’atmosphère paisible et spirituelle du site. On atteint la grotte (qui est maintenant accessible à tous, et plus seulement selon la période aux chrétiens ou aux musulmans), par un escalier depuis la rue Allenby dans le bas de Haïfa.
Selon la tradition, Élie est venu prier ici avant d’appeler le feu du ciel.

Ohel Jakob, Munich, Allemagne

2006

Balak (בָלָק), Nombres, de 22:2-25:9 et Michée 5:6-6:85

Cette Paracha tire son nom du roi de Moab et Midian1, Balak. Celui-ci engage Bilaam, un prophète de Mésopotamie2, pour maudire Israël. Malgré ses efforts, Bilaam échoue et finit par bénir Israël, prophétisant sur la fin des temps3.

Nombres 25:5
מַה-טֹּבוּ אֹהָלֶיךָ, יַעֲקֹב; מִשְׁכְּנֹתֶיךָ, יִשְׂרָאֵל. 
Qu’elles sont belles tes tentes, ô Ya’aqov ! Tes demeures, ô Israël !

La Synagogue Ohel Jakob (Tente de Jacob) à Munich, œuvre de Rena Wandel-Hoefer et Wolfgang Lorch, est un édifice moderne en béton et travertin, couronné d’un cube de verre. Son intérieur, lambrissé de cèdre et orné de psaumes écrits en lettres dorées, a été inauguré le 9 novembre 2006, jour du 68e anniversaire de la Nuit de Cristal4, témoignant de la résilience du peuple juif.

1 Moav et Midian sont des régions qui correspondent aujourd’hui à la Jordanie et à la péninsule arabique.
2 La Mésopotamie englobe une partie de la Turquie, de la Syrie, de l’Irak, de l’Iran et du Koweït.
3 Nombres 24 :15-25 : Dans leurs commentaires, Rachi, Rambam, Sforno, Malbim, le Talmud, des Midrashim et le Zohar expliquent que Bilam prophétise sur les royaumes futurs et sur le Messie.
4 Pogroms perpétrés par les nazis les 9 et 10 novembre 1938.

Synagogue de Maon, Israël

VIe siécle

BaMidbar (במדבר – dans le désert), Nombres 1:1-4:20 et Osée 2:1-22

Dans le désert, D.ieu demande à Moché de procéder à un nouveau recensement des enfants d’Israël. Il lui détaille également la disposition des camps autour du sanctuaire et leur ordre de marche, tel une armée prête au combat.

Nombres 2:32:
אֵלֶּה פְּקוּדֵי בְנֵי-יִשְׂרָאֵל, לְבֵית אֲבֹתָם: כָּל-פְּקוּדֵי הַמַּחֲנֹת, לְצִבְאֹתָם–שֵׁשׁ-מֵאוֹת אֶלֶף וּשְׁלֹשֶׁת אֲלָפִים, וַחֲמֵשׁ מֵאוֹת וַחֲמִשִּׁים.אֵלֶּהפְּקוּדֵיבְנֵי−יִשְׂרָאֵל,לְבֵיתאֲבֹתָם:כָּל−פְּקוּדֵיהַמַּחֲנֹת,לְצִבְאֹתָם–שֵׁשׁ−מֵאוֹתאֶלֶףוּשְׁלֹשֶׁתאֲלָפִים,וַחֲמֵשׁמֵאוֹתוַחֲמִשִּׁים.
Ce sont là les dénombrements des enfants d’Israël selon leurs maisons parernels; le total des dénombrements des camps, selon leurs armées, était de 60.3550.

Dans le désert du Néguev, près de Horvat Maon et des kibboutz martyrs de Nirim et Nir Oz, au sud de Gaza, se trouve la synagogue de Maon, un vestige archéologique rénové au VIe siècle, bien que le bâtiment originel soit bien plus ancien. Sa caractéristique marquante est l’abside semi-circulaire conçue pour abriter une arche de la Torah.
Les mosaïques présentent diverses représentations symboliques, notamment une vigne, des palmiers, un shofar, un loulav, un etrog, une menorah, deux lions, symbole de la tribu de Judah. Une inscription en araméen mentionne le nom des trois donateurs de la mosaïque et bénit toute la communauté.

Benfeld, Haut-Rhin, France

1846

Be’houqotaï (בחוקותי – selon Mes règles),
Lévitique 26:3–27:34 et Jérémie 16:19–17:14.

Suite aux bénédictions et aux malédictions, la fin de la sidra est consacrée aux prélèvements de la dîme.

Lévitique 27:30
וְכָל-מַעְשַׂר הָאָרֶץ מִזֶּרַע הָאָרֶץ, מִפְּרִי הָעֵץ–לַיי, הוּא: קֹדֶשׁ, לַיי
Toute dîme de la terre, prélevée sur la semence du sol ou sur le fruit des arbres, appartient à l’É-ternel: elle lui est consacrée.

La Synagogue de la rue de la Dîme à Benfeld a été érigée en 1846. En 1876, elle fait l’objet d’une expansion par l’architecte Gustave Adolphe Beyer, pour les parties latérales. En 1895, l’orgue Wetzel (1) est installé. En 1922, les fresques orientalisantes, inspirées de celles de la synagogue de Florence, sont réalisées par le peintre benfeldois Achille Metzger. Reconnue pour sa valeur historique, la synagogue est inscrite, depuis 1984, au titre des monuments historiques. Actuellement, elle fait l’objet d’une restauration dans le cadre de la Mission Patrimoine (2).

Pendant la Seconde Guerre mondiale, Eugène Guthapfel fait face avec courage aux autorités allemandes et sauve la synagogue de la destruction (3). Aujourd’hui, une plaque commémorative le remerciant est apposée à l’extérieur de la synagogue.

(1) Il est signé “Ch. Wetzel & Fils, Strasbourg”, c’est à dire par Charles Wetzel et son fils Edgard. C’est le seul orgue de synagogue existant encore en Alsace.
(2) La Mission Patrimoine, confiée à Stéphane Bern, est un projet déployé par la Fondation du Patrimoine et soutenu par le ministère de la Culture et la Francaise des Jeux pour la sauvegarde du patrimoine français.
(3) Secrétaire de la mairie à cette époque, il fait preuve d’une présence d’esprit remarquable. Tandis que des bonnes sœurs cachent les objets de culte trahissant l’identité religieuse du bâtiment, Eugène Guthapfel prétexte avoir besoin de la synagogue pour de prétendues réunions. Grâce à cette ruse, l’intégralité de l’édifice est préservée.

‘Hava vé-Adam, Modi’in, Israël

2003

Behar Sinaï (בהר סיני – sur le mont Sinaï) Lévitique 25:1-26:2 et Jérémie 32:6–27

D-ieu ordonne d’observer le chabbat de la terre (chmita – jachaire) et le jubilé (yovel).

Lévitique 25:2
 דַּבֵּר אֶל-בְּנֵי יִשְׂרָאֵל, וְאָמַרְתָּ אֲלֵהֶם
כִּי תָבֹאוּ אֶל-הָאָרֶץ, אֲשֶׁר אֲנִי נֹתֵן לָכֶם–וְשָׁבְתָה הָאָרֶץ, שַׁבָּת לַיהוָה
Parle aux enfants d’Israël et dis-leur :
Quand vous serez entrés dans le pays que je vous donne,
la terre sera soumise à un chômage en l’honneur de l’Éternel.

La Ferme éco-éducative ‘Hava vé-Adam est située dans une vallée adjacente au parc technologique de Modiin. Fondée en 2003 par Isaac Gaziel en tant que centre éducatif écologique, elle est un modèle de respect des principes du repos septénaire de la terre (Shmita), du jubilé (Yovel), ainsi que du chabbat et des fêtes. Les activités de la ferme sont axées sur l’autosuffisance écologique, avec l’exploitation de l’énergie solaire, le traitement indépendant des déchets, la collecte des eaux de pluie et la réutilisation des eaux usées. Elle met également en œuvre des techniques de construction écologique et encourage le recyclage ainsi que l’agriculture biologique.

Mont Herzl, Jérusalem, Israël

Paracha Qédochim (קדושים – Saints), Lévitique 19:1-20:27 et Ezekiel 22:1-19. Pirké Avot chapitre 2 Yom HaShoah Yom HaZikaron Yom HaAtsmaout

Dans les Pirké Avot 2:1
 רבי(1) אוֹמֵר: אֵיזוֹ הִיא דֶֽרֶךְ יְשָׁרָה שֶׁיָּבוֹר לוֹ הָאָדָם, כָּל שֶׁהִיא תִּפְאֶֽרֶת לְעֹשֶֽׂיהָ וְתִפְאֶֽרֶת לוֹ מִן הָאָדָ.
Rabbi(1)  enseigne : « Quelle est la bonne voie que l’homme doit adopter ? Celle qui l’honore à ses propres yeux et qui l’honore aussi aux yeux d’autrui.

Situé au sommet de Jérusalem, le Mont Herzl, également connu sous le nom de Mont du Souvenir (Har HaZikaron), est un lieu de mémoire, où les héros sont honorés. Il abrite le Cimetière National d’Israël, divers mémoriaux(2) et le musée Herzl.
Chaque année, lors des jours de commémoration nationale tels que Yom HaShoah, Yom HaZikaron et Yom Ha’Atzmaout(3), le Mont Herzl devient le point focal des cérémonies officielles, incarnant l’esprit de mémoire, de résilience, d’unité, de solidarité et de détermination du peuple israélien.

(1) Rabbi Yehouda HaNassi, Rabbi Yéhouda le Prince, plus connu sous les surnoms de Rabbi, Mon Maître ou Rabbenou HaQadosh, Notre Saint Maître, est un Tanna (docteur de la Michna) de la cinquième génération (135 – circa 220).
(2) Au sommet du Mont Herzl, la place ou se trouve la tombe de Théodore Herzel accueille la cérémonie d’ouverture du jour de l’Indépendance d’Israël. Autour de la place, le cimetière national abrite les tombes de nombreuses personnalités, ainsi que celles de soldats et de civils ayant sacrifié leur vie pour Israël. Près du sommet sur le flanc ouest se trouve Yad Vashem, le plus grand mémorial du monde dédié à la Shoah, honorant les victimes juives de la Shoah, ainsi que les héros et les Justes parmi les Nations..
(3) Yom HaShoah : Journée du souvenir pour la Shoah et l’héroïsme, Yom HaZikaron : Jour du souvenir pour les victimes de guerre israéliennes et des opérations de haine et Yom Ha’Atzmaout : Jour de l’Indépendance.