Bais Bezalel, Los Angeles, Californie

1996

Ki Tissa (כי תשא – lorsque tu prendras), Exode de 30, 11 à 34, 35.

Exode 31 2-3
ראה קראתי בשם בצלאֵל בן-אורי בן-חור למטֵה יהודה. ואמלא אתו רוח א-להים בחכמה וּבתבונה ובדעת ובכל-מלאכה.
Vois, j’ai désigné expressément Betsalêl, fils de Ouri, fils de Hour, de la tribu de Yéhouda, et je l’ai rempli d’une inspiration divine, d’habileté, de jugement, de science, et d’aptitude pour tous les arts.

Betsalel (בצלאל – à l’ombre [sous la protection] de D.ieu) est l’architecte en chef du Michkan. Il est l’archétype du meilleur apprenti, l’artiste par excellence.

En 1977, sous l’impulsion du Rabbi de Loubavitch, un lieu d’apprentissage et de culte, nommé Bais Bezalel, ouvre à Los-Angeles. En 1996, le centre s’agrandit et emménage dans un bâtiment sur Pico boulevard, du côté de Beverly Hill.

Synagogue de Livourne, Italie

1962

Tetsavé (תצוה – tu ordonneras), Exode 27, 20 à 30, 10.
Chabbat Zakhor (זכור – Souviens-toi), Deutéronome 25, 17 à 19
Hiloula du ‘Hida (11 Adar 5783)

La nouvelle synagogue de Livourne est l’œuvre la plus célèbres de l’architecte italien Angelo Di Castro. La forme du bâtiment rappelle celle du Michkane. Au centre, la tevah est construite à partir d’éléments en marbre de l’ancienne synagogue. L’arche en bois sculpté et doré (1708) provient de la synagogue de Pesaro. Les salles du sous-sol abritent un oratoire, Oratorio Lampronti, dont les meubles du XVIIIe siècle proviennent de la synagogue espagnol de Ferrare.

Il y a 217 ans, le Chabbat Zakhor (11 Adar 5766) à Livourne, où il s’est installé en 1780, décède le Rav ‘Haim Yossef David Azoulay, plus connu sous l’acronyme de ‘Hida (חיד »א). En 1956 ses ossements sont transférés à Jérusalem.

לכבוד החיד »א, זכותו תגן עלינו
Likhvod ha’hida, zékhouto taguèn ‘alénou ».
Honneur au ‘Hida, que son mérite nous protège

Synagogue Rema, Cracovie, Pologne

1557

Teroumah (תרומה – contribution) Exode de 25, 1 à 27, 19

D. demande aux enfants d’Israël d’apporter leur contribution afin de construire un sanctuaire pour résider parmi eux.

La synagogue Rema (ou Remuh), dans le quartier juif de Kazimierz1, est la seule synagogue en activité de Cracovie. Elle est fondée, en 1557, par le banquier du roi de Pologne pour son fils Mojżesz ben Israel Isserles, dit Le Rema2. L’inscription au-dessus du portail rue Szeroka l’annonce au visiteur :

בית הכנסת חדש רמא זצל
Synagogue nouvelle de Rema, de mémoire bénie

En 1988, lors de travaux de restauration des polychromes ont été découverts. Dans la salle de prière, une chaise prés du mur oriental est, selon la tradition, celle du Rema. L’arche sainte, œuvre de la Renaissance tardive, est encadrée par des piliers et surplombée par les Tables de la Loi. Le tronc des aumônes à l’entrée de la salle de prière porte l’inscription « or, argent, cuivre ».

Exode 25, 3
וְזֹאת הַתְּרוּמָה אֲשֶׁר תִּקְחוּ מֵאִתָּם זָהָב וָכֶסֶף וּנְחֹשֶׁת
Et voici l’offrande que vous recevrez d’eux :
or, argent et cuivre.

Les murs de la cour portent des inscriptions à la mémoire des Juifs de Cracovie qui ont péri dans l’holocauste. En 1945, la synagogue redevient un lieu de prière.

1 Le film « La Liste de Schindlera été tourné en  1993 dans ce quartier.
2 Rem’’a (רמ״א) est l’acronyme de Rabbi Moses Isserles (1520-1572), auteur d’ouvrages religieux, philosophiques, scientifiques et mystiques. Son code de jurisprudence talmudique, intitulé Mappa (la Nappe), fait autorité encore aujourd’hui.

Demi sicle judéen, Israël

vers l’an 60

Mishpatim (משפטים – lois), Exode de 21, 1 à 24, 18
Chabbat Sheqalim (שקלים – Sicles), Exode de 30, 11 à 30, 16
1

Exode 30, 11 et 12
כִּי תִשָּׂא אֶת-רֹאשׁ בְּנֵי-יִשְׂרָאֵל, לִפְקֻדֵיהֶם, וְנָתְנוּ אִישׁ כֹּפֶר נַפְשׁוֹ לַיי, בִּפְקֹד אֹתָם; וְלֹא-יִהְיֶה בָהֶם נֶגֶף, בִּפְקֹד אֹתָם.
Quand tu feras le dénombrement général des enfants d’Israël, chacun d’eux paiera au Seigneur le rachat de sa personne lors du dénombrement, afin qu’il n’y ait point de mortalité parmi eux à cause de cette opération.

יג זֶה יִתְּנוּ, כָּל-הָעֹבֵר עַל-הַפְּקֻדִים–מַחֲצִית הַשֶּׁקֶל, בְּשֶׁקֶל הַקֹּדֶשׁ:
Ce tribut, présenté par tous ceux qui seront compris dans le dénombrement, sera d’un demi-sicle, selon le poids du sanctuaire ;

Selon la Halakha (Méguila 13b), on doit donner, avant Pourim, l’argent du souvenir du demi sicle donné au Temple. Lorsque nous nous acquittons, il faut de dire «en souvenir du demi-sicle» (Zékher Lémah’atsit Hashékel – זכר למחצית השקל).

Le sicle est une ancienne unité de poids ainsi qu’une devise monétaire. Il équivaut a 180 grains d’orge, soit environ 12 grammes2.

Demi-sicle judéen du Ier siècle :
Coté face entourant des grenades, est inscrit Jérusalem3. Coté pile figure une coupe et la valeur de la pièce.

1 début de Ki Tissa
2 au cours de l’argent cela correspond à environ 5€ ou $5.10 ou ₪20
3 en écriture hébraïque ancienne

Congrégation du Mont Sinaï, Jersey City, New Jersey, États-Unis

1910

Yitro (יתרו – Jéthro), Exode 18, 1 à 20, 23

Exode 19, 20
וַיֵּרֶד ה’ עַל-הַר סִינַי, אֶל-רֹאשׁ הָהָר
Et D.ieu descendit au mont Sinaï, au sommet de la montagne

En 1654, vingt-trois juifs d’origine sépharade, s’installent à Nieuw-Amsterdam1. Peu à peu les juifs s’établissent un peu partout aux Etats-Unis. En 1766, Isaac Pinto publie, à New-York, le premier livre de prières bilingue hébreu et anglais. La population juive est estimée à 2 500 personnes lors de la guerre d’indépendance (1775-1783). Au XIXe siècle et début du XXe siècle l’émigration européenne s’accélère.
En 1906, un groupe de marchands de Central Avenue se réunit pour fonder la congrégation Mount Sinai à Hudson City2. L’architecte Eugène Ciccarelli est alors engagé pour concevoir le batiment. Il réalise un imposant édifice roman surmonté de deux coupoles mauresques en cuivre en forme d’oignon. Le 11 octobre 1910, l’ancien maire Edward Hoos3 l’inaugure. Il déverrouille les portes en forme de Table de la Loi. C’est la plus ancienne congrégation juive orthodoxe de la ville de Jersey.

1 Actuel New York. En 1750, la ville comptera 300 juifs et plus d’un million de nos jours.
2 Hudson était une ville qui a existé dans le comté de Hudson, New Jersey, États-Unis, de 1855 à 1870, date à laquelle elle est devenue une partie de Jersey City.

3 En fonction du 3 mai 1897 au 31 décembre 1901

Communauté juive de l’île de Man

Chabbat Chira, Bechala’h (בשלח – quand il renvoya), Exode 13, 17 à 17, 16.

Chabbat du chant, mais on pourrait dire des chants. Lorsque les Bné Israël traversent la mer, Moché et les hommes entonnent un cantique (Exode 15, 1 à 18), suivis par celui de Myriam et des femmes (Exode 15, 20 et 21). Dans la haftarah, Dvorah et Barak chantent également (Juges 5, 1 à 31). La paracha relate aussi le don de la manne par D.ieu.

Exode 16, 4
וַיֹּאמֶר יי אֶל-מֹשֶׁה, הִנְנִי מַמְטִיר לָכֶם לֶחֶם מִן-הַשָּׁמָיִם
L’Éternel dit à Moïse : Je vais faire pleuvoir pour vous une nourriture céleste

Le camp de détention
A la montée du nazisme de nombreux juifs se réfugient en Grande-Bretagne. En 1939, à la déclaration de guerre, le gouvernement britannique, inquiet que des espions ennemis aient pu s’infiltrer, réunit des centaines de familles d’origine allemande et leur font traverser la mer d’Irlande pour les incarcérer sur l’Ile de Man dans le camp de Hutchinson, les autorités britanniques les considérant comme des « étrangers ennemis« . Sur les 1.500 juifs arrêtés dans le cadre de rafles massives on compte un grand nombre d’artistes, de musiciens et d’intellectuels renommés1.

Ile de Man
De nos jours, environ 200 Juifs vivent encore sur la petite île, principalement dans la capitale Douglas2. Cette petite communauté possède un cimetière juif, mais n’a ni rabbin ni magasin kacher, elle se réuni au 30 Allan Street, chez un particulier. La communauté est représentée au Tynwald3 par Leonard Singer.

1 Notamment Sir Nikolaus Pevsner, historien de l’art et de l’architecture, Lord Arthur Weidenfeld, baron de Chelsea, éditeur, philanthrope et chroniqueur de presse, Sir Charles Forte, fondateur du groupe Forte, Kurt Schwitters, peintre, sculpteur et poète allemand (dadaïsme) et les pianistes Marjan Rawicz et Walter Landauer (duo de piano).
2 Kirk Douglas, de son vrai nom Issur Danielovitch est le fils de migrants juifs de Tchavoussy ayant fui la Biélorussie pour échapper à l’antisémitisme d’État de l’Empire russe. A 74 ans, il renoue avec le judaïsme. Il est décédé le 5 février 2020 (10 chevat) à l’âge de 103 ans. En 2004, sa femme Anne Buydens se convertit au judaïsme.
3 Le Tynwald
est le parlement de l’île de Man (en mannois : Tinvaal signifie « lieu de réunion » ou « lieu d’assemblée ».

Centre communautaire, Quito, Equateur

2000

Parachat Bo (בא – va), Exode 10, 1 à 13, 16.

D.ieu déclenche les trois dernières plaies. Il prescrit aux enfants d’Israël : de compter le mois de Aviv1 comme premier mois, de sacrifier l’agneau pascal, de marquer les linteaux des portes et de consommer des azymes. Les enfants d’Israël quittent l’Égypte chargées de richesses. D.ieu ordonne de Lui consacrer les premiers-nés.

Exode 13, 4
הַיּוֹם, אַתֶּם יֹצְאִים, בְּחֹדֶשׁ, הָאָבִיב.
Aujourd’hui, vous partez, au mois de printemps.

Surnommée Ciudad de la Eterna Primavera2, Quito bénéficie, tout au long de l’année, d’un climat tempéré et ensoleillé et d’une température moyenne de 20°.

En 1914, Julio Rosenstock, originaire d’Autriche, arrive en Équateur pour participer à la construction du chemin de fer. Dans les années 30, il retourne dans son pays natal comme consul de l’Équateur. En 1934, il revient en Équateur et en 1938, il fonde d’Association israélite de Quito afin d’accueillir les Juifs d’Europe fuyant le nazisme. Alors que de nombreux pays ferment leurs frontières, l’Equateur accueille 4.500 Juifs entre 1933 et 1945. En raison de l’assimilation et de l’émigration, notamment en Israël, l’Équateur ne compte plus qu’un millier de Juifs.

Le complexe synagogal Comunidad Judía Del Ecuador est inauguré en 2000. Il comprend : un mikvé, deux synagogues, une école, une cuisine centrale, un restaurant et des résidences pour le Chabbat, une salle de sport, une piscine intérieure et un bâtiment pour la ‘Hevra Kadicha.

1 Il fut appelé Nissan après le retour de la captivité de Babylone.
2 ville du printemps éternel

Sarrelouis, Sarre, Allemagne

1987

Parachat Vaera (וארא – Et J’apparus), Exode 6, 2 à 9, 35.
D.ieu, envoie sur l’Égypte des plaies destinées à contraindre Pharaon de laisser partir les hébreux.

Exode 8,27
הִנֵּה אָנֹכִי, נֹגֵף אֶת-כָּל-גְּבוּלְךָ–בַּצְפַרְדְּעִים.
Je m’apprête à infester de grenouilles tout ton territoire.

Les grenouilles :
Jusqu’en 1900, les lampes, appelées grenouilles étaient utilisées dans les mines de charbon de la région minière du bassin de la Sarre. Les modèles les plus connus : grenouilles du Harz, westphaliennes ou sarroises. Elles étaient dangereuses et provoquaient de nombreux accidents dans les mines par embrasement du gaz et des poussières (coup de grisou).

lampes grenouilles

Exode des juifs de Saarlouis :
Les Juifs vivant à Sarrelouis sont mentionnés dès 1685, soit cinq ans après la fondation de la ville par Louis XIV. Sarrelouis passe d’un propriétaire à un autre sans trop de dommage pour la communauté juive. En 1808, suite au décret de Bayonne, l’avocat, Herschel Mordechai1 prend le nom de Heinrich Marx. En 1815, par le traité de Paris, la Sarre est rattaché à la Prusse. Après la guerre de 14-18, la Sarre est placée sous l’administration de la Société des Nations. Suite au référendum2 de 1935, la Sarre redévient allemande. Au cours des deux années qui suivent, les juifs sont socialement exclus et la plupart des familles juives de Saarlouis quittent la ville pour la France (Lorraine) ou le Luxembourg. 

La synagogue :
Novembre 1938, l’intérieur de la synagogue est détruit. En 1983, le bâtiment est démoli. En 1987, un nouveau bâtiment est construit sur le modèle de l’ancienne synagogue.

1828-1983

1 Né à Sarrelouis et mort à Trèves (1777-1838), fils du rabbin de Trèves, Levy Mordechai et père de Karl Marx. .
2 Après la seconde guerre mondiale, la Sarre est rattachée à l’administration française et sera restituée à l’Allemagne en 1957, suite au référendum de 1955.

Tsipori, Haute-Galilée, Israël

Parachat Chemot (שמות – Noms), Exode 1:1-6:1

Exode 2:21
וַיּוֹאֶל מֹשֶׁה, לָשֶׁבֶת אֶת-הָאִישׁ; וַיִּתֵּן אֶת-צִפֹּרָה בִתּוֹ, לְמֹשֶׁה
Moché consentit à demeurer avec cet homme,
qui lui donna en mariage Tsiporah, sa fille.

Tsiporah (ציפורה – une oiselle) est l’une des sept filles de Jéthro.
Tsipori1 est connue comme la ville natale de Rabbi Yehuda Hanasi2, Tanna qui a clôturé la compilation de la Mishna, aux alentours de 200.
La synagogue3 date de la fin de la période byzantine (Ve siècle). Le sol en mosaïque est divisé en quatre thèmes : la ligature d’Isaac, les signes du zodiaque, le Michkan et l’Arche d’Alliance. Le quartier juif a été reconstitué et on peut s’y promener.

1 La ville aurait été appelée Tsipori (ציפורי – des oiseaux), car elle se situe au sommet de la colline comme les oiseaux.
2
Rabbi Yehouda hannassi רבי יהודה הנשיא (135-circa 220) connu sous les noms de Rabbi ou Rabbenou Haqadosh est un Tanna (au pluriel tannaïm).
Ce terme viendrait du judéo-araméen Chanah (שנה), dont dériverait aussi le mot Michna (מִשְׁנָה). Il signifie : répéter [les opinions de ses maîtres et prédécesseurs].
3 Voir le panoramique sur Earth
         

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Bnei Éphraïm et Bnei Menaché, Inde

Parachat Vaye’hi (ויחיet il vécut) Genèse 47:28 à 50:26.
La Paracha de cette semaine renferme les versets encadrants (Genèse 48:20 et 48:16) la bénédiction des cohanim (Nombres 6:24 à 26) lors de la bénédiction traditionnelle des parents à leurs enfants1, le vendredi soir

Genèse, 48:20
יְשִׂמְךָ אֱלֹקים כְּאֶפְרַיִם וְכִמְנַשֶּׁה
Que D.ieu vous fasse semblables à Ephraïm et à Ménaché 

Nombres 6:24 à 26
יְבָרֶכְךָ יי, וְיִשְׁמְרֶךָ.
 יָאֵר יי פָּנָיו אֵלֶיךָ, וִיחֻנֶּךָּ. 
 יִשָּׂא יי פָּנָיו אֵלֶיךָ, וְיָשֵׂם לְךָ שָׁלוֹם. 
Que l’É.ternel te bénisse et te protège.
Que l’Éternel fasse rayonner sa face sur toi et te soit bienveillant.
Que l’Éternel dirige son regard vers toi et t’accorde la paix.

Genèse, 48:16
 הַמַּלְאָךְ הַגֹּאֵל אֹתִי מִכָּל-רָע, יְבָרֵךְ אֶת-הַנְּעָרִים, וְיִקָּרֵא בָהֶם שְׁמִי, וְשֵׁם אֲבֹתַי אַבְרָהָם וְיִצְחָק; וְיִדְגּוּ לָרֹב, בְּקֶרֶב הָאָרֶץ. 
Que l’ange qui m’a délivré de tout mal, bénisse ces jeunes. Puisse-t-il perpétuer mon nom et le nom de mes pères Abraham et Isaac. Puisse-t-il multiplier à l’infini au milieu du pays.

Les Bnei Menaché vivent principalement à Moreh, une ville indienne située à la frontière de la Birmanie dans l’état indien du Manipur (nord-est de l’Inde). Ils considèrent que leur ancêtre légendaire Hmar Manmasi n’est autre que Menaché, fils de Joseph. 
En 2005, Israël les autorise à faire leur alyah, après avoir procédé a une conversion formelle. Environ 3 000 membres de la communauté ont immigré en Israël. Il sont encore 7 000 en Inde.

Les Bnei Éphraïm vivent à Kothareddy Palem, un village indien situé au bord du lac Bhavanasi dans l’état indien de Andhra Pradesh (région côtière du sud-est de l’Inde)
Les Bene Éphraïm ou Juifs Télougou se disent descendants de la tribu d’Éphraïm. Ils ne sont pas reconnu à ce jour comme juif par le rabbinat d’Israël.

Genese 50:24
ויי פָּקֹד יִפְקֹד אֶתְכֶם, וְהֶעֱלָה אֶתְכֶם מִן-הָאָרֶץ הַזֹּאת, אֶל-הָאָרֶץ, אֲשֶׁר נִשְׁבַּע לְאַבְרָהָם לְיִצְחָק וּלְיַעֲקֹב
Sachez que le Seigneur vous dirigera et vous ramènera de ce pays dans celui qu’il a promis par serment à Abraham, à Isaac et à Jacob.

1 Pour les filles ont remplace Ephraïm et à Ménaché par Rivka, Ra’hel et Lea
2 Kuki, Chin, L’origine israélite de Mizo-Hmar; Mythe ou Réalité? Par Lal Dena (lien externe)